Casos clínicos de Patología Respiratoria

Casos clínicos de Robert Séror 1 ère observation. Coqueluche, suites de : Pascale B.... 5 mois. Artix. (Pratique du Répertoire de Kent. http://www.homeoint.org/seror/articles/pratrepkent.htm) 18 juillet 1967 : Coqueluche à l'âge d'un mois et demi. A reçu par un confrère allopathe les remèdes suivants : Toplexil, Succiphyline, Coquelusedal. Depuis : 7 à 8 quintes par jour. Prend froid facilement. Dort souvent sur le ventre. Parents Espagnols, s’expriment difficilement en français. 1. Toux secondaire à coqueluche (Spasmodic, whooping cough, after, 805) : SANG. 2. Toux persistante (Cough, persistent, 800) sang. 3. Coqueluche (whooping cough, 810) : Sang. d'où : Sanguinaria 30 C une dose. 28 juillet 1967 : La toux a complètement disparu trois jours après la prise de la dose. Commentaires : Sur le répertoire, il faut ajouter Pertussimum à Spasmodic, whooping cough, after (805). Ajouter également à Coqueluche (whooping cough, 810) : Pert. - Carc. : coqueluche du nourrisson qui n'en finit pas. Carbolicum acidum : coqueluche avec urines noires. Vue la mauvaise connaissance du français des parents, cette observation a été très " maigre " ; de plus, on s'est contenté d'utiliser la doctrine du " tabouret à trois pieds " de C. Hering. Enfin, l'analyse répertoriale, questionnaire, examen du nourrisson, n'ont demandé en tout que dix minutes. En somme, ici encore, ce n'est pas la quantité ni la puissance qui importent, mais la qualité et la finesse de l'observation. Ce nourrisson a été revu par la suite, pour d'autres troubles, mais jamais plus pour ces fameuses suites de coqueluche. Pratiquement, il faut retenir que Sanguinaria, mieux que Drosera ou Pertussimum convient parfaitement aux suites de coqueluche. 19 ème Observation: Coqueluche. (Pratique du Répertoire de Kent. http://www.homeoint.org/seror/articles/pratrepkent.htm) Le 7 décembre 1970, Éric R..., 9 ans, de Villeneuve-de-marsan, est adressé par un confrère allopathe, pour une coqueluche évoluant depuis un mois, à raison d'une dizaine de quintes par 24 heures, l'enfant étant asthmatique par ailleurs. Vomissements alimentaires après chaque quinte ; toux sèche avec sifflement ; toux s'aggravant dans une chambre chauffée ; toux aggravé couché. L'analyse répertoriale, après valorisation puis hiérarchisation des symptômes, nous donne : 1) Toux aggravée dans une pièce chauffée (COUGH, WARM, room, 810) : All-c., Ap., Bry., COCC., Dros., Dulc., Iod., Ip., Kali-s., PULS., Seneg., Spong. 2) Vomissements alimentaires après la toux (STOMACH, VOMITING, food, from cough, 537) : BRY., cocc-c., Dros., IP., Puls. 3) Toux aggravée couché (LYING, agg., 796) : Bry., Cocc-c., Dros., Ip., PULS. Les remèdes possibles sont Bry., Dros, Cocc-c, et Puls. Lequel d'entre eux est le similimum ? La clinique permet de s'orienter vers Coccus cacti, car le petit malade présente après chaque quinte, outre les vomissements alimentaires signalés plus haut, des grands efforts pour expulser des glaires abondantes, pendant en longs filaments (ce sont les mots mêmes de la M.M.), donc : Coccus cacti 5 C, 2 granules après chaque quinte importante. Ne pas dépasser 6 prises par 24 heures. 29 décembre 1970, Tout s'est terminé en 4 jours. Commentaires : 1) La rubrique : Toux, aggravée dans une chambre chaude, est très fournie de remèdes au petit degré, on ne retient techniquement que les remèdes au moyen et au fort degré d'une part, les apsoriques pratiques de la toux d’autre part, ce qui ramène la première rubrique à 12 remèdes. 2) Durant cette coqueluche, le malade n'a présenté aucune crise d'asthme, car on sait que (Hahnemann, Kent, Gibson-Miller) lors d’une maladie aiguë, la maladie chronique "s’assoupit". 3) L'analyse répertorial met à notre disposition plusieurs remèdes possibles . Le similimum n'est pas nécessairement le remède numériquement au plus fort degré, mais celui qui qualitativement convient le mieux au malade, 4) L'emploi de la " Loi du Tabouret à 3 pieds d’ Hering " a permis l'élimination plus rapide de remèdes, car si le remède ne sort pas à la seconde rubrique, on élimine ce dernier même s’il est présent au niveau de la troisième. Par contre, si on retient 10 symptômes pour l'analyse répertoriale, il ne faut pas éliminer un remède parce qu’il ne présente pas un, ou même deux symptômes du tableau clinique. Zona thoracique de l'enfant. (La théorie du “Tabouret à 3 pieds”de Constantin Hering. Pratique quotidienne. http://www.homeoint.org/seror/articles/hering3p.htm) Jean-Claude 1,.... de Goes, 9 ans. Zona thoracique avec très peu de signes et de symptômes ; on arrive péniblement à obtenir les trois symptômes suivants : 1) Zona thoracique (chest, zona, 830) : Graph., Lach., Mez., Rhus t.; 2) L'éruption est indolore, ce qui est rare pour un zona (éruptions, painless, 1315) : Lach., Rhus t.; 3) L'éruption s'accompagne de démangeaisons intenses (éruption, chest., itching, 830) : Graph. Rhus tox., d'où Rhus tox. 30 CH, 8 doses. Une dose trois fois par jour durant trois jours. Trois jours après, l'éruption a presque complètement séché. Rhus tox. 30 CH. Une dose matin et soir durant trois jours. Quatre jours après, l'éruption a complètement disparu, et la guérison est là. 2 ème observation. Asthme - Mlle Catherine L..., 50 ans, Oloron. (Pratique du Répertoire de Kent. http://www.homeoint.org/seror/articles/pratrepkent.htm) Vient consulter le 11 décembre 1964, parce qu'elle présente des crises d'asthme depuis une dizaine d'années. Crises intermittentes avant la ménopause, mais depuis l'apparition de la période climatérique, fait une crise tous les soirs dès qu'elle se met au lit. Interrogatoire et examen mettent en relief les symptômes suivants : 1) Aime à se dévouer pour les autres, aime rendre service, serviabilité (Sympathetic, 86) : Lyc., Nat. m., Nit. ac., Nux v., Sep., Carc. 2) Fait tout rapidement, veut en avoir fini avant d'avoir commencé (Hurry, 52) : Ars., Calc., Kali c., Lil., Lyc., MERC., NAT. M., Nux v., Sep., TAR., Thuya, Med. 3) Très sensible aux colères rentrées, ne peut extérioriser sa colère, ainsi que son indignation (Mortification, 68 + Indignation, 55) , Ars., Calc.-p., Chin., LYC., Merc., NAT. M., Nux v., Plat., Sep., STAPH., Lyss. 4) Grand désir de sel et de mets salés (Salt things, 486) : Calc., Calc. p., NAT. M., Nit. a., Tar., Thuya, Lyss., Med., Tub. Natrum muriaticum, 7 C, 9 C, 12 C. Une dose au coucher trois soirs de suite dans l'ordre croissant. 15 janvier 1965. Les crises ont cessé dès le 4 ème soir après la prise du remède. SL. 8 mars 1965. Aucune crise. SL. 8 juillet 1965. Aucune crise. SL. 11 août 1965. Aucune crise. SL. 6 octobre 1965. Aucune crise, SL. 8 juillet 1967. Soit trois ans plus tard, aucune crise. Guérison. Commentaires : Il s’agissait d'une maladie chronique, donc, lors de l'analyse répertoriale, on néglige de considérer les petits remèdes, les remèdes aigus. On recherche le similimum, non pas sur les symptômes de l'asthme, qui n'est que la manifestation externe de la maladie chronique, mais sur quelques symptômes caractéristiques du malade lui-même. Qu'y a t- il de plus caractéristique d'un être humain que son psychisme ? ses désirs et ses aversions ? Le fait que la malade n'ait manifesté ni réaction ni aggravation, signifie que le remède était le bon ainsi que les dynamisations. Cette modalité dans le mode de guérison est extrêmement rare, c'est une des raisons pour laquelle, j'ai tenu à publier cette observation, comme la suivante d'ailleurs. 3 ème observation. Asthme : Jean-Marc S..., 9 ans, Pau. (Pratique du Répertoire de Kent. http://www.homeoint.org/seror/articles/pratrepkent.htm) Vient consulter le 12 novembre 1964, pour des crises d'asthme apparues depuis l'âge de 5 ans, à la suite d'un eczéma des plis. Crise apparaît sur une contrariété, ou par changements de temps, et assez souvent vers 17 heures. L'interrogatoire permet d'objectiver et de retenir pour l'analyse répertoriale les symptômes caractéristiques qui suivent : 1) Très grande susceptibilité + Aggravation très importante par le froid (Offended, 69) : Alum., Ars., Aur., Carb. v., Caust., Graph., NUX V., Petr., Phos., Sep., Ver., Zinc. 2) Boude d'une façon extrêmement fréquente (sulky, 85) : Ars., Aur., CAUST., Graph., Nux V., Phos, Sep. 3) Asthme après éruption supprimée (Asthmatic, eruptions, after, suppressed, 765), Ars., Aur., PSOR. d'où Arsenicum album 9 C, 15 C, 30 C, une dose au coucher trois soirs de suite dans l'ordre croissant. 21 novembre 1964. Absence de crise, de réaction, d'aggravation. SL. 30 novembre 1964 Idem, ainsi qu'en 1965, 1966, 1967, 1968. Commentaires Comme toujours lorsque l'on a affaire à une maladie chronique, ne retenir que les gros remèdes d'action profonde. Cela allège énormément l'analyse répertoriale ; de plus, ne répertorier que les symptômes dont on est absolument certain ; il faut éliminer ceux d'entre eux qui paraissent douteux, ou même pas assez marqués. Une erreur fréquente est de prescrire le remède le plus élevé numériquement à la suite de l'analyse répertoriale. C'est là une erreur de tactique, Il faut prescrire le remède qui semble le mieux convenir à la personnalité du malade, même si ce remède arrive en 2e ou 3 e position dans l'analyse. C'est là que la connaissance intime, intuitive de la M. M. se révèle utile. Ramener une analyse répertoriale à quelque chose de mécanique, c'est tout simplement montrer que l'on n'a rien compris à cette branche de notre discipline. Cette observation illustre une fois de plus la véracité de la technique d’ Hering, lorsque les symptômes retenus le sont valablement. Casos clínicos de Elizabeth Wright Hubbard (12ème. REVUE DE PRESSE HOMÉOPATHIQUE DE LANGUE ANGLAISE. Docteur Robert Séror. Cahiers de biothérapie, N° 15, septembre 1967, pages 208 à 219, réactualisée pour " Homéopathe International " en Avril 1999) Toux violente. Journal of the American Institute of Homoeopathy, 1966, N° 3/4. " Garçon de 5 ans, qui présente une toux violente. Se met en colère quand on le console (Kent, 2, angry when consol.) : Ars., cham., nat-m. Toux améliorée en position debout (Kent, 806, cough, better standing) : mg-s. Toux améliorée en se tenant droit (Kent, 806, cough, better erect) : Nat-m., stan. Toux aggravée couché, sur le dos (Kent, 797, cough, worse lying on the back) : am-m., ars., nat-m., nux v., phos-a., sep. Expectoration verte le matin (Kent, 816, green) : fer., lyc., nat-m., nit-a., psor., sil., stann. Natrum mur. est un remède auquel on ne s'attend pas dans la toux ; il guérit pourtant l'enfant en un laps de temps très court. " Casos clínicos de Hui Bon Hoa (Compendio de Técnica Repertorial & Homeopática) OBSERVACIÓN Nº 8 Sr. M.M. Pedro, 52 años, abogado, en crisis de Angor Pectoris típica, por primera vez. Está aterrorizado y asegura que va a morir. No puede mantenerse tranquilo y el movimiento lo agrava. En este caso agudo tenemos un síntoma extremadamente marcado que es el miedo a morir, que domina el caso. Aconitum 10M dosis única, alivió al paciente instantáneamente. Pero si vuelve con una segunda crisis no tendrá tanto miedo, no será tan agitado y Aconitum no le servirá, habría que buscar otro remedio que recetar. MIND - FEAR - death, of - angina pectoris; during OBSERVACIÓN Nº 9 N.V. C., un niño de 12 años, entra al hospital Chung Cheng de Saigón en un estado muy grave, enfermo desde hace 5 días, y examinado por varios médicos, recibió todos los antibióticos. Está pálido, cara demacrada y la frente cubierta de sudor. Disnea importante con aleteo nasal y de lejos se escuchan sus estertores, no habla, no le gusta que le pregunten, lengua pastosa, mucosas secas y no tiene sed, cianosis de las extremidades, temperatura poco elevada 38.5º. Es un ejemplo de caso agudo con síntomas mentales, generales y también regionales - locales. Antimonium tartaricum 200 CH. 6 dosis a cuatro horas de intervalo cada una, curó al paciente en pocos días, sin antibióticos. Los remedios compuestos son difíciles de tratar de repertorizarlos directamente. CASO 18: Sr. M.D. Alain: en estado asmático contínuo desde hace tres años. Agravado por olores fuertes, huevos cocinados, el polvo, el frío húmedo, a la orilla del mar. Esto se inició después de la tosferina. Deseo de alimentos muy condimentados y agitación nocturna. Buscar remedio. Mejoría progresiva con Sepia 30 CH cada 4 horas 6 tomas. Desaparición completa de los padecimientos después de algunas semanas de tratamiento. Tuvo que volver a tomar Sepia dos meses después a la 1CM en olfación con efecto mucho mas enérgico y rápido. CASO 23. - Sr. T., Rogelio: 45 años; padecimientos en la región cardíaca agravados por el esfuerzo; con dolores subclaviculares agravados en el lado izquierdo; con opresión por períodos. Electrocardiograma normal, labios rojos, violáceos; soporta mejor el calor que el frío. Agravado en una habitación cerrada, deseo de azúcar y alcohol. Se despierta entre la una y las tres de la madrugada con estos padecimientos: transpiración, temblor, miedo y palpitaciones. Susceptible y fastidioso. Buscar remedio. Curación con arsenicum-album a la 20 después a la 200, después a la 1.000, y después a la 10.000, con intervalos largos. Observación: Después de dos o tres repeticiones de la misma dinamización, se en-cuentra como si el organismo estuviera saturado en este plano de dinamización, como si estuviera acostumbrado, y entonces es necesario cambiar el grado de dinamización. CASO 32. – [¿Paschero?] Un abogado de 49 años, presentaba bronquitis con síntomas asmáticos y supuración de la oreja derecha desde hacía treinta años; rebelde a todos los tratamientos; furúnculos repetitivos en la cadera derecha, orzuelos bilaterales repetitivos. Muy nervioso, irritable, excitable y deprimido, con gusto marcado por la soledad, aversión a la consolación y así se volvía misántropo. Tenía sobresaltos frecuentes durante el sueño; muy sensible a los tiempos fríos especialmente en la cabeza; también sudores malolientes en los pies. Su mujer que lo acompañaba dijo que acababa de decidir curarse, y que ella debía ayudarle y darle ánimos en el desarrollo de su profesión, porque la mínima dificultad lo aplastaba y lo desanimaba, y entonces se hundía en la desesperanza. Por otra parte era muy minuicioso en su trabajo, tanto que por tonterías tenía sentimiento de culpabilidad. Ahora está nítido el cuadro gracias a la esposa que lo describió: El paciente obsesionado y totalmente disminuido en su personalidad. El cuadro era: Minuicioso por tonterías, testarudo, , aversión por el consuelo, agravado por el frío, sensibilidad al frío en la cabeza, sobresaltos durante el sueño, sudor de mal olor en los pies. ¿Cual es el remedio? Silicea Terra. CASO 44. - Sr. C., Miguel: asmático, crisis cada noche a las 9 p.m. con estornudos. Antecedentes: asma en la infancia, bronquitis y anginas repetitivas. A los 8 años congestión pulmonar. Su abuelo murió de cáncer; enfermo caluroso, con gran apetito, deseo de dulces, grasas, alimentos muy condimentados, desordenado, sensible a la música, gran ansiedad por anticipado. Buscar el remedio. Todos los padecimientos desaparecieron completamente en la semana siguiente a la administración de Carcinosin. CASO 45. - Sra. L. Huggette: 53 años, asmática. Crisis a las 8 p.m. . Ningún antecedente canceroso ni tuberculoso; gorda, calurosa, miedo a las tormentas y a la muerte; imposible dormir sobre el lado izquierdo. Muy locuaz, exuberante, no soporta la ropa apretada en el cuello, gran ansiedad por anticipado. Buscar el remedio. Todos los padecimientos desaparecieron completamente en una semana. Un Lachesis, un Sulphur, un Phosphorum, o una Nux Vomica etc., que hacen la ansiedad por anticipado son de Carcinosin. Casos clínicos de Roberts (extraídos de Adaptability en ROBERTS H. A. and WILSON A. C., The Principles and Practicability of Boenningshausen's Therapeutic Pocket Book) Caso Calc. de asma ase iii. A young man, 25 years of age, gave the following history : As a child he was very stout, and as a small child he had asthmatic attacks. At 11 years of age he was exposed to the weather, soaked through with rain and thoroughly chilled; rheumatic fever that settled in his knees followed. He later (following the rheumatic fever) became very thin, and developed chorea to the point of clonic convulsions. He was sent to a camp in Maine where the regular hours and the out-door life entirely relieved his condition and he began to gain in weight. In 1919 he developed eczema on his arms; this was suppressed by local applications. The eczema itched to the point of agony; it was agg. night, agg. warmth of the bed, agg. sweating. He could not endure being covered at night as it caused sweating and this in turn agg. the itching. In 1930 he contracted a cold that was thought to be tubercular; he was sent to an institution but was discharged at the end of six months. In 1932 he had scabies "cured" by external applications, and a return of asthmatic attacks. These attacks waken him from sleep at night. There is copious expectoration, gray, green or yellow. Attacks come on also or are agg. from wind, agg. winter, agg. wet weather, agg. dust. He is still nervous; he craves candy and sweets. The following rubrics were chosen : 1. Oppressed respiration, page 113 2. Agg. wind, page 309 3. Agg. wet weather, page 309 4. Agg. winter, page 310 5. Symptoms causing sleeplessness, page 246 6. Expectoration gray, page 118 7. Expectoration green, page 118 8. Expectoration yellow, page 119 9. Sweat with associated symptoms, page 265 10. Scabies suppressed with mercury and sulphur, page 211 11. Agg. warm wraps, page 308 (cannot endure being covered) 12. Tetter itching, page 229 13. Agg. night, page 270 14. Agg. warmth of bed, page 308 15. Nervous excitement, page 157 16. Convulsions clonic, page 150 17. Arthritic pains (in the joints), page 161 18. Agg. getting wet, page 309 19. Desires sweets, page 69 The following remedies came through in sufficient rank for consideration : Calc. carb. 19/66 has every symptom, Puls. 17/69 lacks 7 and 19; Sep. 17/69 lacks 2 and 19; Sulph. 17/66 lacks 7 and 10; Phos. 17/61 lacks 10 and 19; Lyc. 17/65 lacks 10 and 15; Nux vom. 17/56 lacks 10 and 18; Carb. veg. 17/51 lakcs 7 and 15; Ars. 16/59 lacks 14, 15 and 19. Without any question Calc. carb. not only met every symptom but was his constitutional remedy-the remedy he should have had in childhood. Fortunately, it was still indicated. Calc. carb. 1m. was given with amelioration of the asthmatic attacks but return of the eczema, to the patient's disgust. He returned at long intervals for a period of two years, but distrusted the remedy because of the skin aggravation that he twice suffered. The asthmatic attacks disappeared except for an occasional very mild reminder of the difficulty, and the eczematous condition steadily improved until it, too, practically disappeared. The patient was so much better he stopped coming, and the last reports were that he was in good health and gaining weight, although there was some itching at times. Casos clínicos de Paschero, (con pocos mentales) (extraídos de Homeopatía) Caso Ars. de taquicardia paroxística (El diagnóstico homeopático en Homeopatía) Una enferma tenía crisis de taquicardia paroxística con sudores profusos durante los accesos, que duraban 10-12 horas, con sensación de gran inquietud física y vértigos violentos en decúbito. Nada somático permitía formular un diagnóstico físico, salvo hipertensión oscilante, de segura filiación emocional. El examen no reveló, por lo demás, nada concreto, pero la anamnesis e historia vital mostró los claros elementos de una neurosis de angustia convertida en crisis paroxísticas de taquicardia. A los efectos del diagnóstico homeopático, la enferma no presentaba síntomas mentales precisos en ese momento, pero la historia biográfica reveló que, antes de que comenzaran sus trastornos, tenía intensos temores a la muerte cuando estaba sola, en forma de súbitos impulsos que le hicieron pensar en el suicidio. Conociendo los mecanismos psíquicos de somatización o conversión orgánica de la angustia, el médico no necesitaba exigir la presencia del miedo a la muerte en el momento actual, para saber que ese síntoma, determinativo del caso, estaba implícito en él y vigente en su historia vital, por lo que resultó fácil diagnosticar Arsenicum a una enferma aparentemente tranquila pero que tuvo tal ansiedad con miedo a la muerte que, por no poderla soportar, pensó en suicidarse, agravada estando sola y en bruscos accesos, complejo mental característico de Arsenicum álbum. Caso Sil. de bronquitis de repetición y otorrea crónica (Caracterización del cuadro clínico en Homeopatía) Un abogado de 49 años consulta por bronquitis a repetición, con manifestaciones asmatiformes y una supuración de oído de 30 años, resistente a todo tratamiento. Le aquejaban además forúnculos a repetición en región inguinal y orzuelos recidivantes en los párpados de ambos ojos. Era muy nervioso, irritable, excitable, triste y con deseos de soledad, tenía aversión por el consuelo y se había convertido en un misántropo. Tenía frecuentes sobresaltos durante el sueño, era muy sensible al frío, sobre todo en la cabeza y le transpiraban los pies con mal olor. La esposa, que lo acompañaba, manifestó que así como ha debido vencer su obstinada apatía e indiferencia para ver nuevamente al médico, tiene que sostenerlo y alentarlo en todo momento para llevar adelante su trabajo profesional, puesto que ante cualquier dificultad se acobarda y descorazona, abandonando la lucha. Es, por otra parte, sumamente meticuloso y detallista en su profesión, hasta extremos anormales en cuanto a detalles que le crean angustiosos cargos de conciencia. El cuadro fue comprendido gracias a esta descripción de la esposa que nos revelaba un paciente obsesivo y totalmente disminuido en su personalidad. Sus síntomas son : Conscientious about trifles Escrupuloso obsesivo Obstinate Obstinado Aggravated by consolation Agravación por el consuelo Worse by cold Empeoramiento por el frío Sensitive to cold in head Sensible al frío en la cabeza Starting from sleep Sobresaltos durante el sueño Bromhidrosis of feet Traspiración fétida de pies Síndrome característico de Silicea, que constituye el similimum constitucional. Natrum muriaticum tiene, como en este paciente, la característica sobresaliente de su aversión al consuelo, pero lo rechaza por rencor y rabia, puesto que es un resentido, mientras que Silicea lo rechaza porque siendo insuficiente, no quiere que le tengan lástima. Un síndrome debe ser comprendido en función de una personalidad que implica totalidad característica y no como fenómeno aislado, que nada significa por sí mismo. Casos clínicos de asma de Paschero (con mentales) Caso de Ars. de enfisema con asma (La búsqueda del similimum en Homeopatía) A modo de ejemplo, tomemos un caso de la práctica diaria que se benefició extraordinariamente con el remedio, después de una pronunciada agravación con el retorno de viejas descargas catarrales, por vía bronquial. Se trata de un señor de 63 años, enfisematoso, asmático, reumático, dispéptico, con polaquiuria y un estado de excitación nerviosa pronunciada que alteraba el ambiente familiar con exigencias fastidiosas sobre el orden minucioso de cosas insignificantes de la vida diaria; NO solo recriminaba a los suyos por pequeños detalles, sino que rechazaba con fastidio la menor insinuación de cariño por parte de su esposa e hijas, que lo veían sufrir con sus accesos de fatiga y opresión precordial, y sobre todo por un constante quejido que sostenía durante todas las noches, mientras dormía. Era un permanente "!Ah!..." que hacía suponer a los familiares un intenso sufrimiento. [pc4.es] El enfermo sólo se quejaba de fuerte constricción del pecho, como si estuviese apretado por una banda sujeta alrededor del tórax. Los demás síntomas, frilosidad, transpiración, dolores reumáticos y trastornos gastrointestinales eran síntomas comunes sin modalidades particulares. Su presión arterial era de 20/11 y el corazón suficiente. Asociando, como característicos determinativos, los síntomas moaning during sleep (en repertorio, pág. 67) y chest constriction as from a band pág. 826), los medicamentos coincidentes en ambos rubros son Arsenicum, Bryonia, Lycopodium, Opium y Silicea. Completando la repertorización con los dos síntomas mentales característicos : fastidious (pág. 42) y consolation agg. (pág. 16) resulta netamente Arsenicum como el medicamento seguro de nuestro paciente; Sin esta repertorización, que llevó a un diagnóstico clínicamente exacto, no hubiéramos podido formular con precisión la indicación de Arsenicum en un enfermo que ocultaba y negaba el miedo a la muerte tras la fachada de un carácter hosco y agrio, enemigo del consuelo. Caso Sep. de asma (La búsqueda del similimum en Homeopatía) Otro caso. Se trataba de un hombre de 41 años de edad, con crisis de asma de 15 años atrás, con rinitis y bronquitis permanente junto a un estado de angustia indefinida que lo colocaban al borde dela desesperación. No podía establecer los motivos, la naturaleza o las modalidades de su angustia pero podía afirmar, atestiguado por sus familiares, que solo encontraba alivio con el trabajo, la ocupación o los menesteres de una labor manual cualquiera a la que se entregaba con intensidad. Tenía verdadera necesidad de estar ocupado, tanto para calamar su angustia como la irritabilidad que lo embargaba en el contacto con la gente. Su sensibilidad al frío era manifiesta en cuanto solo exponía al frío alguna parte de su cuerpo o se sacaba la ropa de abrigo y aun hasta cuando se descubría en la noche, determinando inmediatamente salvas de estornudos. Tenía además trastornos dispépticos, constipación, transpiración profusa durante el sueño y algunas líneas de temperatura vesperal, todos síntomas de orden común sin modalidades, especiales, salvo una marcada agravación horaria de sus crisis asmatiformes y su angustia, a las 3 de la mañana. Asociando repertorialmente los síntomas occupation amel. (pág. 69), industrious (pág. 56), y busy (pág. 10) por la parte mental, con aggravation after becoming cold a part of body (pág. 1349), aggravation uncorvering (pág. 1410) y undressing agg. (pág. 1410) y por la parte física, surgen los remedios : Baryta carbónica, Belladonna, Sepia, Rhus toz. y Silicea. De estos 5 medicamentos, el único que tiene empeoramiento a las 3 de la mañana es Sepia, con el cual se definió categóricamente el remedio de este enfermo. Una dosis de Sepia 200 le produjo a las 48 horas intensa agravación con una fuerte crisis de asma, esta vez a diferencia de todas las anteriores, con abundantísimo catarro bronquial y aumento de la temperatura, por lo cual fue requerida la presencia de un médico ante el temor de que hubiera eclosionado un proceso bronconeumónico. El colega, homeópata, pensó que el cuadro era de Antimonium tartaricum, pero, conociendo nuestra prescripción, resolvió darle placebo. Al día siguiente todo había pasado, restando abundante eliminación de catarro traqueobronquial que fue la manifestación inicial de años atrás cuando comenzó su afección. Dos o tres semanas después, el enfermo se sentía completamente libre de manifestaciones respiratorias que habían configurado el cuadro de un mal asmático, y estaba totalmente recuperado de su angustia, irritabilidad y abatimiento. Requirió una repetición de la dosis de Sepia 200, tres meses después, ante un resfrío con tendencia asmatiforme que cedió inmediatamente. El diagnóstico de este caso asentó sobre dos síntomas característicos determinativos que no podían ser omitidos del enfermo : occupation amel. Y aggravation after becoming cold a part of body. Los otros síntomas fueron connotaciones (cross references) de estos dos síntomas fundamentales. La agravación horaria ratificó la sucinta pero exacta repertorización. Caso Merc. de asma (La búsqueda del similimum en Homeopatía) Hace 9 meses se nos consultó un niño, de 10 años, con bronquitis asmáticas y crisis frecuentes de asma bronquial. La madre empieza por referir que al año y medio de edad, el niño tuvo sarampión y que a partir precisamente de entonces tiene su actual afección pulmonar. Antes de ello, afirma, estaba en perfecta salud. La categórica afirmación de los hechos, adjudicando al sarampión el origen de la bronquitis asmática, hubiera movido sin más a prescribir Morbillinum; pero el enfermo tenía otros síntomas. Llamaba poderosamente la atención la transpiración profusa y fétida que el niño tenía durante el sueño, empapando la almohada con olor fuertemente desagradable. Tenía, además, la particularidad de que la piel se le ponía como de gallina, con pequeñísimos granitos que la hacían áspera y seca. Era sumamente tímido, rehuía a la gente extraña, y resaltaba en su conducta una fuerte y constante disposición a decir a todo que no, a contradecir cualquier pequeña proposición. Los síntomas eran evidentes y tomamos como determinativo aquel que no podía ser omitido en la repertorización, la transpiración maloliente de la cabeza durante la noche, construyendo el cuadro repertorial en la siguiente forma : Perspiration fetid, scalp (pág. 222) Calc. Merc. Puls. Staph. Perspiration scalp during sleep (pág. 222) Calc. Merc. Goose flesh (pág. 1325) Calc. Merc. Staph. Timidity (pág. 88) Calc. Merc. Disposition to contradict (pág. 16) Merc. Mercurio era el remedio de este enfermito, con serios problemas de conducta, sumamente agresivo y buscador de pelea, irritable hasta el extremo de querer matar a la persona que lo contradecía y con una permanente disposición a contradecir cualquier proposición que se le hiciera. El característico que definió la repertorización netamente en favor de Mercurio, separándolo de Calcarea, fue la disposición a contradecir, aunque no se utilizó, porque con este solo síntoma bastaba, el deseo de matar a la persona que lo contradecía : "desire to kil the person that contradicts her" (pág. 60), que sólo tiene Mercurio. Porque tampoco era necesario, se dejó de lado la disposición para pelear : "Quarrelsome" (pág. 70) y "wants to fight" (pág. 48). Una dosis de Mercurio M. le produjo una erupción descamante y seca en ambas palmas de manos, semejante a una descamación posescarlatinosa, profuso catarro nasal y transpiración fétida de pies que la madre dijo había tenido cuando muy chico, habiéndosele suprimido espontáneamente. Su conducta cambió radicalmente, modificó en un todo su agresividad y negativismo y desaparecieron hasta sus últimas manifestaciones la bronquitis y el asma. Caso Caust. de asma (La personalidad del enfermo en Homeopatía) Una enferma de 36 años concurrió a la consulta porque padecía de asma bronquial, dolores en articulaciones de miembros inferiores, anginas y laringitis a repetición, gran susceptibilidad al frío seco y, como síntoma mental característico, intenso temor a los perros, a que éstos le contagiaran la rabia. [pc4.es] Irracionalmente se llenaba de terror en la calle cuando veía algún perro, porque sentía la amenaza de que le trasmitiera la rabia. Examinando su biografía, se constato que tenia un profundo rencor contra su madre con no menos intensa envidia a su única hermana, quien fue objeto de todo el cariño de su progenitora a la par que ésta no solo la rechazó a ella con odio sino también con frecuentes castigos corporales; Acumuló así un inmenso caudal de rabia contra su madre que lógicamente debió contener y ocultar, desarrollando una formación reactiva de sumisión y bonhomía. Su ansiedad de conciencia por abrigar tales sentimientos de odio, hizo que proyectara su culpa sobre los perros, temiendo que éstos le infligieran con la rabia, enfermedades propia de los perros, el daño que ella no podía infligir a su madre en venganza por la frustración afectiva. [pc4.es] Cree que le gustan las mujeres aunque les teme, por lo que piensa que es homosexual. En sus sueños aparece siempre una mujer vestida de amarillo (leche materna mala, bilis, veneno) que la amenaza de muerte. En realidad quiso siempre conquistar el cariño de su madre a quien le tuvo miedo, conflicto de ambivalencia expresado en el asma. Tiene dos hijos, una mujer y un varón y contra la hija la acosan impulsos de pegarle y maltratarla como otrora lo hiciera su madre con ella. [pc4.es] Sus síntomas eran : [pc4.es] Fear of dogs (pág. 44), Kent. [pc4.es] Anxiety of conscience (pág. 6). [pc4.es] Fear something will apeen (pág. 45). [pc4.es] Cold dry weather agg. (pág. 1349). [pc4.es] Causticum M, 10M y 50M le quitó el asma por completo después de agravarla inicialmente, pero más interesante fue aún su total cambio de actitud familiar. [pc4.es] Había querido obsesivamente trabajar fuera de su casa, no obstante la sorpresa de su esposo, que gozaba de brillante posición económica, porque decía que necesitaba sentirse independiente. Con toda evidencia trataba de solventar la culpa por sus sentimientos de rabia contra la madre, transferidos a su esposo. Actualmente, ya curada, ha cambiado de carácter, antes hosco y violento, quiere a su case, su esposo y sus hijos, no tiene asma y perdió por completo el miedo a los perros. Caso Sep. de asma (Inauguración del curso de medicina homeopática en la facultad de ciencias medicas de la universidad de Buenos Aires en Homeopatía) Se trata de una enferma de 33 años de edad, casada, con dos hijos de 5 y 2 años de edad, que acude en estado de mal asmático, con crisis subintrantes exacerbadas después de media noche. Las crisis se anuncian por prurito en garganta y mentón con sensación constrictiva en el cuello, seguida por opresión angustiosa en tórax, tos seca y, finalmente, al cabo de un par de horas, abundante catarro bronquial espumoso, blanco y viscoso. Después de agotar todos los recursos de la terapéutica habitual, desde corticoides hasta los antiasmáticos inyectables más variados, se encontraba en estado desesperante. Acudía al homeópata para reclamar un pronto alivio a su situación. El problema clínico que en este, como en todos los casos, enfrenta el médico homeópata, es el de la individualización del enfermo. Antes que el asma debe tratarse al asmático de acuerdo con un estudio total y biográfico del paciente, aunque los cuadros agudos y urgentes pueden ser pasibles de una medicación sintomática o local que resuelva momentáneamente la situación. En este caso, ante el fracaso de todos los calmantes, debíamos sondear el problema general, comprender a la enferma en su totalidad y hallar una solución de fondo. La enfermedad actual es siempre el resultado de un proceso mórbido que todo médico debe comprender e identificar a través de una completa biopatografía. La historia de nuestra enferma era la siguiente : Cuando pequeña fue muy delgada, de complexión débil, con tendencia al retraimiento, timidez e irritabilidad. Tuvo sarampión a los 3 años, coqueluche a los 5 amigdalitis a repetición, que decidieron la amigdalectomía, a los 8. Cumplió su menarquia a los 12 años, corizas y bronquitis que se sucedieron hasta el momento actual, todos los inviernos. Su agravación todos los inviernos es una modalidad general persistente. Se casa en aparente buen estado de salud a los 25 años de edad y, a las pocas semanas, inicia un cuadro pelvigenital con dolores ardientes en hipogastrio, más acentuados en el ovario izquierdo; flujo abundante, fétido, excoriante, ardiente; menstruaciones escasas, dolorosas, con sensación sumamente penosa en hipogastria de que el contenido pelviano se "le corriera por las piernas" y estado general de extremo cansancio e irritabilidad con marcada intolerancia, llanto inmotivado y crisis histeriformes. Este cuadro se incrementa en su aspecto general, no obstante haberse sometido a intenso tratamiento ginecológico con lavajes, óvulos, cauterizaciones y hormonas, que sólo atenúa los síntomas locales. A los dos años de casada se embaraza y en el tercer mes de embarazo sufre el primer ataque de asma; Diversos medicamentos, cortisona, antiasmáticos, etc., la mejoran perentoriamente, pero trascurre una penosa gravidez con dolores intolerables de peso en el bajo vientre, que la obligan a guardar cama las últimas semanas. Al año de este primer parto, como se intensificaran sus padecimientos pelvianos, es intervenida quirúrgicamente y se le extirpa el ovario izquierdo. Continua con su proceso asmático y genital hasta que vuelve a embarazarse a los tres años de la primera hija,; da a luz una segunda, con la repetición de los mismos sufrimientos. Llega finalmente al momento actual en que, junto a su ya mal asmática y a un proceso inflamatorio también crónico de su bajo vientre, presenta un síndrome mental que, iniciado a poco de cascada, fue adquiriendo día a día caracteres verdaderamente dramáticos, que atentan contra la estabilidad y persistencia de su hogar. Sumamente irascible ante la menor contradicción, no toleraba consolación alguna, rechazaba de su esposo e hijos toda muestra de simpatía y afecto, se impacientaba vivamente por cualquier requerimiento de los suyos y mostraba un creciente y alarmante desapego, desamor, desinterés e indiferencia, que la hacían rehuir toda compañía, tanto de sus familiares como de sus relaciones, sumiéndose en una hosca soledad. Solía encerrarse en su cuarto y resistir los angustiosos llamados de su esposo, solicito, cariñoso y ávido de procurarle todo bienestar para que abriera la puerta, cosa que al final cedía para reprocharle injustamente su descontento con todo, hasta la propia abulia para los quehaceres menores de su vida doméstica. Su frigidez afectiva y erótica era tan manifiesta, que evidenciaba casi odio por su esposo y ruda aversión por sus hijos, disposición anímica comparable, en intensidad, con la ansiedad por su salud, que sentía profundamente deteriorada, y la desesperanza de obtener la curación o el alivio. Frente a esta situación, el esposo no sabe qué hacer. Se intentó hacer un tratamiento psiquiátrico, sin resultado alguno. La enferma se halla sometida a tres tratamiento distintos, por tres cuadros de enfermedad en apariencia, patogénicamente desconectados; un síndrome asmático, una metrosalpingo-ovaritis y una neurosis grave. Para cada uno de estos síndromes se agotó el arsenal terapéutico ad hoc. Sólo queda la separación o la internación, con un muy problemático y triste futuro para el matrimonio y los hijos. ¿Cómo debe reaccionar un médico, no digo homeópata, sino un clínico que se precie de tal, en el caso de esta enferma? En primer lugar, con el sólido criterio que le permita abarcar y comprender al enfermo como unidad viviente, como una totalidad psicofísica en constante reacción frente a sus circunstancias. El enfermo lo está en toda su economía, comprometiendo la totalidad de su ser psico-orgánico. En segundo lugar, que el enfermo se enferma desde el centro a la periferia, desde la mente a los órganos, de lo general a lo particular y que lo que está en la periferia, en los órganos o en las partes del cuerpo, como alteraciones funcionales o formaciones patológicas, es el resultado de la disfunción del centro del individuo, de la alteración de su mentalidad que, absolutamente siempre, sutil o explícitamente, es la primera manifestación del proceso dinámico, que determina la perturbación mecánica y fisicoquímica de los órganos. Existe una correspondencia o connotación de determinadas funciones fisiológicas con determinados procesos psíquico-emocionales, aún no bien dilucidada en términos patogénicos que constituye el capitulo cada día más amplio, por mejor comprendido, de la medicina psicosomática, pero lo que es ya absolutamente indudable es la aserción de que el ser humano se enferma como unidad viva y que la enfermedad per se, es una alteración dinámica que implica un comportamiento psíquico y biológico del individuo entero, no las manifestaciones locales o fisiopatológicas, que son su consecuencia. En nuestra enferma no se debía tratar su afección asmática, pelviana y mental como tres enfermedades diferentes, son a ella misma, como enferma esencialmente en su personalidad, en su psiquismo, en el centro mismo de su organismo. No era un diagnóstico nosológico de sus procesos locales, inclusive el de su neurosis, a la que se catalogo como histeria de angustia, lo que esta enferma necesitaba, para supeditarlo a una terapéutica que evidentemente debía fracasar, sino una comprensión total y unitaria de su proceso mórbido para curarla a ella y no a sus enfermedades locales. Hahnemann postula en el parágrafo 3° del Organon que el médico debe saber en cada enfermo en particular qué es lo que se debe curar en él y, en esta enferma, lo que había que tratar de curar era precisamente el centro de su persona, su afectividad, su capacidad de amor, su voluntad, esa propensión más intima que nos impulsa a superar el autismo egoísta para querer al prójimo y volcarnos en la trascendencia de nuestro yo. Allí, en ese núcleo volitivo de su personalidad, había radicado el mal que usurpaba la totalidad de su vida como mujer, como esposa, como madre y como persona. Cuando un enfermo lo está en ese centro de su voluntad afectiva inconsciente, cuando está lleno de odio, resentimiento, aversión, egoísmo, avaricia, apatía moral, perversión o afán destructivo, está mucho más enfermo que el que tiene una grosera patología periférica, generalmente derivada del proceso interno, con el significado de un intento de curación, por la trayectoria eferente y exoneratriz del morbus. Nuestra enferma no era histérica, ni asmática, ni pelvigenital, diagnósticos sin ninguna operancia a los efectos de una terapéutica racional. Más aún, la medicación de cada uno de esos síndromes no había hecho más que empeorarla, determinando supresiones que contrariaban la ley de curación. Los síntomas esenciales de su proceso dinámico mórbido eran; gran irritabilidad con intolerancia a la contradicción; indiferencia afectiva por su esposo e hijos; aversión a la compañía con deseos de soledad; rechazo del consuelo; apatía e indiferencia por todo; empeoramiento en invierno; crisis asmatiforme durante la noche; leucorrea copiosa ardiente, excoriante, pútrida; dolores en hipogastrio con empeoramiento considerable caminando o permaneciendo de pie. En la materia médica homeopática existe un medicamento cuya patogenesia reproduce el cuadro total de esta enferma con sus características fundamentales. Este medicamento es Sepia que por analogía se constituyo en el remedio especifico del caso, cuya enfermedad no podía tener otro nombre que le remedio que la curara, como quería Paracelso. La primera dosis de Sepia Mil le provocó aumento exorbitante de su leucorrea pútrida y una crisis asmatiforme exacerbada, pero, en la medida en que ambos síntomas empeoraban su estado de ánimo mejoraba simultáneamente. Tuve que detenerla, persuasivamente, para que no adoptara medidas supresivas de su molesta leucorrea, de acuerdo con las practicas corrientes, y respetara esa crisis exonerativa. La mejoría que experimento fue extraordinaria. En un año y medio de tratamiento obtuvo una total recuperación, se reintegró al núcleo afectivo de su familia, cambió totalmente de carácter y desaparecieron los síntomas psíquicos y físicos que la habían llevado al borde del desastre total de su vida. No la traté como asmática, ni por su enfermedad genital, ni siquiera como enferma mental. Sobre la base de un síndrome característico mínimo de valor máximo, en cuanto a su individualización, por analogía con un medicamento, pude hacer el correcto diagnóstico terapéutico que curó racionalmente a esta enferma.
Material preparatorio seleccionado para el Máster de Homeopatía de Barcelona, 2007-8.

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