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Au sujet des votations du 17 mai 2009 en Suisse pour les médecines complémentaires
Madame, Monsieur
Au sujet des votations du 17 mai, permettez-moi d’exprimer mon souhait de voir parler de médecine et non que …d’argent, comme si le problème des coûts de la maladie n’avait rien à faire avec le type de médecine pratiquée. Dans d’autres domaines que la médecine, quand quelque chose coûte régulièrement trop ou de plus en plus cher, on se demande comment faire autrement, et non seulement comment le payer !
Chaque thérapie est une des branches de la médecine: la chirurgie complémentaire à la psychiatrie, l’endocrinologie complémentaire à la cardiologie, l’allopathie complémentaire à la médecine académique ou à la psychiatrie, la physiothérapie complémentaire à …. etc.
Le problème est de choisir ce que l’on fait au bon moment. Choisir une thérapie qui avorte le symptôme (médecine académique, remèdes anti-) ou une qui accouche de la santé, par exemple l’homéopathie uniciste (un remède pour un patient) ? Les deux sont merveilleuses, la première sauve des vies journellement dans les cas d’urgence vitale, de lésions ou fonctions incurables, la seconde évite souvent d’avoir recours à la première, ou permet peu à peu de s’en passer par la remise en route de la santé. Laquelle donc utiliser en premier ? Apprendre à notre organisme à bien se conduire, ou le freiner, forcer, retenir lors de tout écart, tout inconfort ? Symptôme : signe de vie* à aider à aboutir, ou signe d’erreur de notre biologie* ?
Notre médecine moderne confrontée au défi financier, du à la survie de patients chèrement médicalisés* et non pas grâce à leur bonne santé, est inabordable pour les 2 tiers de l’humanité.
De production chère, centralisée, cotée en bourse, nécessitant énergie et produits souvent toxiques, elle est incompatible avec le développement durable, la décentralisation, l’autonomie des peuples et des régions*.
Elle est insoutenable à long terme pour l’environnement et la biodiversité*, ce dont les producteurs pharmaceutiques n’ont le plus souvent cure. Les remèdes ingérés se retrouvent ainsi dans les eaux en quantités de plus en plus grandes et non ou insuffisamment dégradés.
Aspect bien délicat celui-ci, mais à envisager tout de même : notre médecine moderne est non viable à long terme puisqu’elle favorise la procréation de patients de plus en plus gravement malades, la vie de l’individu étant prioritaire sur l’espèce* de par le type même de démarche scientifique…
Alors la solution à nos problèmes financiers et de santé ?
Non pas remplacer ou exclure une thérapie quelconque, mais cibler nos priorités, ce qui aura un impact financier important:
1 Etudier et respecter les besoins physiologiques de notre espèce pour ne pas tomber malade: éducation, pédagogie, psychologie, hygiène, écologie… Connaissance et intelligence: le patient est acteur, indépendant, responsable, compétent.
2 Puis se baser sur le paradigme scientifique signal : médecines curatives énergétiques, systémiques, globales, qui relancent les capacités de guérison naturelle de l’organisme (homéopathie, acupuncture, réflexologie…). L’énergie vitale est actrice.
3 Ensuite travaillons selon le paradigme quantitatif de la médecine moderne, palliative, chimique, mécaniste, parcellaire et symptomatique, où le patient est passif, dépendant : médecine pondérale : plus ou moins de sécrétion, fonction… (phytothérapie, huiles essentielles),
ou en dernier recours médecine toxique franche: (antibiotiques, anti fièvre, antidépresseurs, antihypertenseurs, hypolipémiants…), on empêche ou oblige une fonction, tue le microbe, détruit (chimiothérapie, médecines physiques, rayons…)
4 Enfin, produits aussi de notre intelligence : substitution, greffes, on remplace.
Et chaque approche sauve des vies !
Faut-il seulement pour avoir ce choix que nos facultés et autorités s’ouvrent à l’idée que l’approche médicale linéaire et matérialiste n’est pas la seule. La votation à venir les y encouragera-t-elle ? C’est mon vœu !
Avec mes remerciements et salutations respectueuses
Auteur: Dr. Guy Loutan
Lettre écrite le 20/05/2009 à Génève.
Dr. Isidre Lara i Llobet
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